Sunday, April 5, 2009

Première expérience abstraite

Voici ma première planche abstraite (fin 2000 début 2001). Une expérience qui m’a donné envie d’en faire un bouquin (ce que je fis 4 ans plus tard chez Atrabile).
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3 comments:

  1. Andrei MolotiuApril 5, 2009 at 6:01 PM

    Salut, Greg! C'est fantastique de finalement voir un francophone poster ici.

    Cette planche est super. Je voudrais bien la voir comme le commencement d'une plus longue histoire. Est-ce peint ou digital?

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  2. troylloydApril 6, 2009 at 8:54 AM

    i like very much the calm stillness of this comic, how it creates a pause, an atmospheric mood, how it plays with depth perception & how the 6 slim panels so effectively offset and elaborate on verticality vs. square slab horizontalism -- the colors work in perfect unison to convey a certain weight to the page, an actual heft of solid construction -- it is a beautiful slow poem & the architectural aspect reflecting how the space is used presents us with that essential narrative of how we create and use space.

    Les modernes affirmaient une coupure très franche avec le passé et cela se répercute directement dans la peinture. L’abstraction remplace de plus en plus la figuration et les sujets glissent du répertoire sacré ou antique vers celui de l’homme (individu ou collectif) perçu par les sciences humaines, ou alors le sujet fait place à la pure picturalité du tableau. La question figurative écartée permet une évolution grâce aux transformations formelles. P. Mondrian se limitait aux couleurs primaires avec une composition tramée. K. Malevitch de façon très sensible a utilisé des formes simples qui questionnaient l’existence du tableau et de la peinture. Dans le domaine de la sculpture, Brancusi polissait les formes pour arriver à leur expression la plus essentielle. L’art minimal suit cette conscience esthétique en faisant disparaître toute trace du créateur physique ou moral dans l’œuvre. Le tableau ne renvoie qu’à lui même et paraît simplement répéter la maxime de P. Klee : « rendre visible ». On retrouve cette attitude dans l’utilisation que fait J. Mc Cracken des couleurs qui deviennent des objets.

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  3. Greg ShawApril 6, 2009 at 4:29 PM

    Merci, c'est peint a l'acrylique

    thanks for your analyse troylloyd

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